Cinq organisations nationales demandent une réforme du régime d’expropriation pour des villes et villages durables

Montréal, le 19 novembre – Dans une lettre ouverte publiée aujourd’hui, des organisations d’intérêt public oeuvrant en logement, urbanisme et collectivités viables, protection du territoire et en mobilité durable demandent une réforme en profondeur du régime d’expropriation québécois, un pouvoir important dans l’arsenal des villes et gouvernements pour réaliser des projets collectifs durables.

« La réforme du cadre d’expropriation doit avoir pour objectif la protection des milieux naturels, une meilleure localisation, un meilleur contrôle des coûts des équipements publics et une réalisation plus efficace des projets. Il faut donner les coudées franches aux projets d’amélioration de la qualité des milieux de vie des administrations municipales qui se mettent en place actuellement » ont déclaré Alain Branchaud, directeur général de SNAP Québec,   Alain Marcoux, président de l’Association des groupes de ressources techniques du Québec, Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville, Sarah V. Doyon, directrice générale de Trajectoire Québec et Sylvain Gariépy, président de l’Ordre des urbanistes du Québec. 

Actuellement, le cadre en expropriation cause d’importants délais et rend exagérément onéreuse la réalisation de nombreux projets d’intérêt public. Les signataires indiquent que la Politique nationale d’architecture et d’aménagement du territoire, en cours d’élaboration, est l’occasion d’aller de l’avant.

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Source 

Samuel Pagé-Plouffe, Coordonnateur – Affaires publiques et gouvernementales

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